Après Théodora MONSSU, c'est au tour de Imen Bahri, photographe tunisienne de nous parler de son travail qui sera présentée à la Médiathèque Simone de Beauvoir pendant tout le mois de mai:
« Photographe sans clichés »
Ma passion pour la photographie « vient en vivant les concerts ». J’ai fais mes premières classes au festival Découvertes Tunisie 21 d’El Jem. «J’aime saisir et flasher l’énergie des musiciens et des chanteurs aux moments les plus intenses.» Mais avec ces photos que j’expose avec la photographe Théodora Monssu, j’ai essayé de révéler un regard intime. Un « Regard vers elle ». Elle qui se conjugue au pluriel, elle qui ramasse et cueille les olives dès l’aube jusqu’au coucher du soleil. Elle, dont le visage a été marqué par les rides que le passage du temps a laissé, marqué aussi par les traces
indélébiles du soleil. En fait, ce qui m’a interpellé chez ces femmes c’est leur joie de vivre intime et discrète qui se dégage à travers leurs sourires, leurs vêtements, leurs bijoux…etc. C’est pourquoi j’ai essayé de capturer ces moments précieux qui m’ont captivée et touchée pour les restituer aux yeux et regards sensibles à la beauté discrète.
1 commentaire:
ce que je peux dire c'est que j'ai l'honneur qu'une femme comme Imen Bahri m'a enseigné la photographie c'est vrai que c'est ennuyant lors du cour,
mais le laboratoire était un monde mystérieux qui nous fait oublier le monde extérieur et tout on se derigeons avec ses conseilles elle n'arrête jamais de nous proposer de l'aide et de faire le max pour que nous pouvons gouter le bon gout de notre travail, en plus elle s'énerve jamais et elle nous traite comme des vrais amis.
voilà je viens de dire quelques côtés positifs parmi beaucoup d'autres qu'elle se caractérise avec, et sa à pour conséquence d'être CELEBRE......
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